Nos premier pas dans le Velay nous dirigent vers Pradelles. Nous y avons rempli nos bouteilles.
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Ensuite, nous sommes monté au-dessus de Pradelles et en montant on a vu 2 aigles royaux et 1 milan royal.
(en bas c’est Pradelles) Nous y avons dormi, le lendemain, papa m’a dit qu’il m’avait assomé dans son sommeil (à mon avis, ça l’ a réveillé car sinon il me l’aurait pas dit). Il m’a aussi dit qu’il avait vu Yelda se débattre et donner des coups en l’air en dormant .Nous nous sommes rendu compte en regardant sur la carte que nous étions dans un marécage ! Et qu’il y avait pleins de gros insectes. Nous avons vu ce jour là 5 Milans Royaux, 2 bruants,1 grenouille rousse, 1 grand corbeau. Nous nous mettons en chemin vers 9H30
et nous arrivons à Arquejols vers 11h00 à mi-chemin de notre destination (Landos) .Puis nous arrivons à Jargonzac où nous mangeons.
Nous repartons et nous arrivons bientôt à Landos qui est un village dont les 2 tiers sont occupés par des fermes. Dans le centre nous voyons une bibliothéque où nous faisons une pause. Moi et Yelda entrons dans la bibliothéque pour y bouquiner. Nous y avons vu un carton plein de livres « voyageur » (que l’on prend, que l’on lit et que l’on donne à une personne qui doit en faire de même) ; moi j’ai pris dans le carton un Nicolas Vanier et Yelda à pris un tom-tom et nana. Puis nous sommes partis trouver un coin sympa pour dormir. Le soir nous avons vu plusieurs mulots qui s’ébattaient dans l’herbe .
Départ de bonne heure vers le Bouchet saint Nicolas à 7km. Le paysage est plat
, envahi de champs cultivés (notamment la fameuse lentille du Puy) et parsemé de petits monts recouverts de bois de conifères. Sur le chemin on a aperçu du monde au loin, 2 adultes, 2 filles, 2 ânes (on ne voyait plus grand monde depuis Langogne), des australiens sur un morceau du Stevenson. Yelda a donné son « tom-tom et nana » à l’une des filles. À notre arrivée au lac nous mangeons avec 2 mamis de 80 ans des ardennes, nous montons le camp, Gildas et Éole font un coup de pêche au bord du lac dans lequel se refléte un magnifique couché de soleil. Éole sort une perche de 15cm et casse son bouchon.
Le vendredi 3 juillet, au programme : grasse matinée, réparation du matérielle de pêche, lecture, feutre, jeu, …Journée détente quoi!
Armelle et Éole ont fait un jogging autour du lac, on s’est retrouvé pour se chronometrer sur un parcours acrobatique avec une petite fille douée et rapide . Nous avons pris une glace au chalet du lac.
Aprés ces 2 jours de repos, nous sommes repartis vers Goudet (dans les gorges de la Loire). Sur le chemin, nous avons vu une carrière de pouzzolane (roches volcaniques) et l’on voyait aussi à l’horizon les Monts d’Auvergne.
Nous avons rencontré un homme et une femme qui voyageaient ensemble avec leur âne: Hercule. Ils venaient du Lot (Ils étaient parti le 1er Avril et on était le 4 juillet) et se rendaient à Nîmes. Nous sommes arrivé au maar du pechay (Un maar est un ancien lac volcanique.). Nous sommes passés par Preyssac, Bargette et Ussel, puis Montagnac pour finalement descendre dans les gorges de la Loire à Goudet. La Loire y est éjà large bien que nous étions à 30 km de sa source (Mont Gebier des joncs). Nous avons rencontré un cycliste qui était au tout début de son périple : descendre la Loire depuis sa source. A goudet nous avons goûter notre première nuit à la belle.
Nous avons quitté Goudet et son chateau après avoir mis en sécurité un oisillon rouge queue noir, puis une somptueuse côte (dont nous parlaient les randonneurs depuis le début du 
chemin) nous attendait. Et c’est une fois en haut qu’on s’est aperçu qu’un telephone portable était resté à charger au camping à Goudet (un aller reour grauit pour Armelle ! ) Nous avons rencontré un Suisse à Saint Martin De Fugère qui faisait la voiture balai pour 5 de ces collègues qui faisaient 5 marathons en 5 jours sur le Stevenson, ça començait bien , ils se sont perdus des le premier jour ! Puis nous passons par Le Cros, petit bled sympas, et nous arrivons à courmacès oû, à l’horizon, nous voyons le Monastier Sûr Gazeille. Nous y attendons Armelle qui a appelé comme quoi elle arrivait (on l’ a attendu 1h) puis on a mangé. S’ensuivit plein de grande côte désagréable.Nous arivâmes le soir au Monastier sur Gazeilles apres de multiples pentes ardues. Nous avons arrosé notre arrivée au bout du Stevenson à coup de sirop de barbe à papa et de bain dans la Gazeille remplie d’algues filandreuses.
Armelle par à la pharmacie une fois les ânes chargé puis fait des courses au inter
. Nous avons du mal à trouvé le GR70 et nous finissons par prendre un chemin qui nous méne dans un village dans lequel nous avons vu une cabane dans un 
grand arbre et oû nous retrouvons le Stevenson (a notre grand étonnement), nous nous posons un peu plus loin pour manger et pour faire une sieste. Hélas, aprés quelques minute nous nous faisons 
réveilés par un orage qui nous oblige de nous hâter; nous progressons donc sur une crète oû l’orage va-et-vient et oû nous nous faisons arroser.La crète se termine sur une descente qui méne à Coubon, oû nous nous 
posons sur un parc en bord de Loire. Une fois installer, nous faisons de la corde à sauter et ça continue en tire à la corde
et ça se termine mal: la corde lâche…
puis nous nous couchons, vers minui, des policiers débarquent et nous préviennent que le coin n’est pas sûr…
Dernière étape sur le STEVENSON, on monte une petite côte puis nous marchons sûr du plat et, aprés un virage, LE PUY EN VELAY, ON Y EST!!!!!!!!!!!! On a terminé le Stevenson!!!!!! YOUHOU !!!!!!!!!!
SUR LES CHEMINS 